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SOLITTORAL - Dynamiser un réseau d’acteurs locaux autour des pratiques de chjame ? operate en territoire littoral balanin : une réactivation des solidarités traditionnelles et des communs comme support à une transition écologique et sociale partagée
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SOLITTORAL - Dynamiser un réseau d’acteurs locaux autour des pratiques de chjame ? operate en territoire littoral balanin : une réactivation des solidarités traditionnelles et des communs comme support à une transition écologique et sociale partagée

NOM du projet : SOLITTORAL - Dynamiser un réseau d’acteurs locaux autour des pratiques de chjame-operate en territoire littoral balanin : une réactivation des solidarités traditionnelles et des communs comme support à une transition écologique et sociale partagée

Financeur : Fondation de France

Chef de file : Université de Lille

Responsable scientifique à l’UMR LISA :
Muriel POLI, Maître de conférences, poli_m@univ-corse.fr

Date de début : 01/10/2023 ; Date de fin : 31/10/2025

Partenaires : Université de Lille, Association CERLH – Cercle d’études et de recherches historiques de Lumio, Association I Sbuleca Mare, Conservatoire Botanique National de Corse

Résumé du projet :

Le projet consiste à suivre la dynamique des actions socio?écologiques sur le littoral corse de Balagne et à en étudier de façon monographique une commune très touristique, Lumio. En nous focalisant sur une commune cherchant à sortir de sa dépendance au tourisme balnéaire estival, et en suivant les acteurs de la gestion écologique littorale sur l’ensemble de la micro?région, nous souhaitons aborder la question des formes que peut prendre la transition écologique et sociale en bord de mer. En nous appuyant sur les caractéristiques culturelles et linguistiques du territoire, nous postulons que l’attachement au milieu de vie et aux sociabilités rurales peuvent être mobilisées pour conduire une résilience écologique. Les recherches précédemment menées sur ce littoral ont en effet montré un territoire en mutation, une mobilisation habitante autour des questions environnementales et l’intérêt de prendre appui sur les traditions, lorsqu’il s’agit de redéfinir l’aménagement du territoire. Travailler sur l’interface terre?mer ainsi que sur l’interface humains?natures, doit nous permettre de comprendre et mettre en exergue le rôle de solidarités traditionnelles, qui se reconfigurent, dans le rééquilibrage des modes de vie en littoral, ainsi que l’élargissement de l’entraide entre humains vers les non?humains et l’écosystème littoral de proximité.